On devient fort parce qu’on est souple.
On devient souple parce qu’on lâche les crispations.
On lâche les crispations parce qu’on lâche prise sur ce qui nous crispe.
Je lâche prise
Abhyasavairagyabhyam tan nirodhah
sur la colère, la joie…
Je lâche l’indignation, l’inquiétude, l’impuissance.
Je lâche l’imperfection.
Je lâche la peur.
Je lâche.
Alors plus que survivre, je peux vivre.